L’essentiel à retenir : le cerveau comme sentinelle du sommeil
Le cerveau réagit instinctivement aux pauses respiratoires nocturnes pour préserver l’essentiel : l’oxygénation. Ce réflexe protecteur, s’il devient une routine imposée par l’apnée du sommeil, perturbe le repos, épuise les réserves cognitives et accélère le vieillissement cérébral. Heureusement, des solutions existent et leur efficacité est démontrée. Protéger son sommeil, c’est offrir au cerveau — et à soi-même — toutes ses chances de santé et de vitalité pour longtemps.
Agir tôt, c’est préserver sa mémoire, sa clarté d’esprit, son énergie. N’ayez pas peur de vous informer, de demander conseil, de vous faire dépister : chaque nuit paisible est une victoire pour votre cerveau.